vendredi 29 janvier 2016
dimanche 24 janvier 2016
vendredi 22 janvier 2016
Phobos T.2
Description
Titre anglais: -
Titre français: Phobos T.2
Série: Phobos
Tome: 2
Auteur: Victor Dixen
Édition: Robert Laffont; Collection R
Nombre de pages: 496
Niveau d'anglais: -
Synopsis
Reprise de la chaïne Genesis dans
3 secondes...
2 secondes...
1 seconde...
Ils croyaient maîtriser leur destin.
Ils sont les douze pionniers du programme Genesis.
Ils pensaient avoir tiré un trait sur leur vie d'avant pour devenir les héros de la plus fabuleuse des odyssées.
En réalité, ils sont les victimes de la plus cruelle des machinations.
Elle croyait maîtriser ses sentiments.
Sur Mars, Léonor espérait trouver la gloire et, pourquoi pas, l'amour.
Elle pensait pouvoir ouvrir son coeur sans danger.
En réalité, elle a ouvert la boîte de Pandore du passé.
Même si les souvenirs tournent au supplice, il est trop tard pour oublier.
3 secondes...
2 secondes...
1 seconde...
Ils croyaient maîtriser leur destin.
Ils sont les douze pionniers du programme Genesis.
Ils pensaient avoir tiré un trait sur leur vie d'avant pour devenir les héros de la plus fabuleuse des odyssées.
En réalité, ils sont les victimes de la plus cruelle des machinations.
Elle croyait maîtriser ses sentiments.
Sur Mars, Léonor espérait trouver la gloire et, pourquoi pas, l'amour.
Elle pensait pouvoir ouvrir son coeur sans danger.
En réalité, elle a ouvert la boîte de Pandore du passé.
Même si les souvenirs tournent au supplice, il est trop tard pour oublier.
Mon avis
Je
ne l'ai jamais caché, la lecture du 1er tome avait été légèrement
pénible pour moi. Trop longue et pas assez d'action pour me tenir en
haleine. Mais après les révélations à la fin du 1er tome, il est évident
que j'avais hâte de savoir ce qui allait advenir de nos 12 candidats à
bord du Cupido et quelle serait leur décision.
Je peux enfin dire que j'ai ressenti une connexion avec les personnages. Lors de ma lecture du tome 1, je trouvais qu'on s'éparpillait trop. Il y a avait beaucoup de bons éléments, mais pas assez d'ordre dans tout ça. Cette fois, j'ai réussi à me mettre dans la peau des personnages. J'ai ressenti la colère et l'impuissance de Léonor. Franchement, il était temps que je m'attache un tant soit peu aux personnages.
Je dois malheureusement me rendre à l'évidence que je ne me ferai jamais au style d'écriture de Victor Dixen. Puisque je savais déjà à quoi m'attendre, j'ai trouvé ma lecture légèrement moins longue et pénible. Mais je trouve encore que c'est beaucoup trop descriptif à mon goût et que certains passages ne sont vraiment pas nécessaires. J'irais même jusqu'à dire que ça coupe le rythme de l'histoire. Par exemple, l'auteur a décidé qu'à plusieurs reprises, il allait mettre des pauses publicitaires comme à la télé. Dans un sens, je trouvais ça ingénieux puisque je me suis dit qu'on pouvait réellement se mettre dans la peau d'un téléspectateur qui regarde l'émission. C'est bien pensé, mais en réalité, ça ne faisait que me freiner dans ma lecture.
J'ai toutefois mieux compris l'utilité de suivre plusieurs personnages à la fois. Il y a plusieurs liens qui commencent à se faire entre les différents personnages et on voit que l'intrigue qu'avait imaginé Victor Dixen commence à se dévoiler. Je ne trouvais plus les chapitres du point de vue d'Andrew Fisher aussi inutiles. Et c'est la même chose pour Serena McBee. Tous ces personnages sont liés. C'est donc une des raisons qui a fait que j'ai plus apprécié ma lecture cette fois-ci.
En bref, même j'ai du mal avec le style d'écrire de Victor Dixen, Phobos demeure une histoire captivante et originale. Les personnages sont de plus en plus attachants (ou détestable, c'est selon) et j'ai hâte de connaître la suite de leur histoire dans le troisième tome de la série. Avec ce cliffhanger, l'auteur est assuré de garder ses lecteurs en haleine.
Merci à la Collection R Canada pour cette lecture !
Je peux enfin dire que j'ai ressenti une connexion avec les personnages. Lors de ma lecture du tome 1, je trouvais qu'on s'éparpillait trop. Il y a avait beaucoup de bons éléments, mais pas assez d'ordre dans tout ça. Cette fois, j'ai réussi à me mettre dans la peau des personnages. J'ai ressenti la colère et l'impuissance de Léonor. Franchement, il était temps que je m'attache un tant soit peu aux personnages.
Je dois malheureusement me rendre à l'évidence que je ne me ferai jamais au style d'écriture de Victor Dixen. Puisque je savais déjà à quoi m'attendre, j'ai trouvé ma lecture légèrement moins longue et pénible. Mais je trouve encore que c'est beaucoup trop descriptif à mon goût et que certains passages ne sont vraiment pas nécessaires. J'irais même jusqu'à dire que ça coupe le rythme de l'histoire. Par exemple, l'auteur a décidé qu'à plusieurs reprises, il allait mettre des pauses publicitaires comme à la télé. Dans un sens, je trouvais ça ingénieux puisque je me suis dit qu'on pouvait réellement se mettre dans la peau d'un téléspectateur qui regarde l'émission. C'est bien pensé, mais en réalité, ça ne faisait que me freiner dans ma lecture.
J'ai toutefois mieux compris l'utilité de suivre plusieurs personnages à la fois. Il y a plusieurs liens qui commencent à se faire entre les différents personnages et on voit que l'intrigue qu'avait imaginé Victor Dixen commence à se dévoiler. Je ne trouvais plus les chapitres du point de vue d'Andrew Fisher aussi inutiles. Et c'est la même chose pour Serena McBee. Tous ces personnages sont liés. C'est donc une des raisons qui a fait que j'ai plus apprécié ma lecture cette fois-ci.
En bref, même j'ai du mal avec le style d'écrire de Victor Dixen, Phobos demeure une histoire captivante et originale. Les personnages sont de plus en plus attachants (ou détestable, c'est selon) et j'ai hâte de connaître la suite de leur histoire dans le troisième tome de la série. Avec ce cliffhanger, l'auteur est assuré de garder ses lecteurs en haleine.
Merci à la Collection R Canada pour cette lecture !
Ma note
4/5
The Score
Description
Titre anglais: The Score
Titre français: -
Série: Off-Campus
Tome: 3
Auteur: Elle Kennedy
Édition: Elle Kennedy
Nombre de pages: 350
Niveau d'anglais: Débutant/Intermédiaire
Synopsis
He knows how to score, on and off the ice
Allie Hayes is in crisis mode. With graduation looming, she still doesn’t have the first clue about what she's going to do after college. To make matters worse, she’s nursing a broken heart thanks to the end of her longtime relationship. Wild rebound sex is definitely not the solution to her problems, but gorgeous hockey star Dean Di-Laurentis is impossible to resist. Just once, though, because even if her future is uncertain, it sure as heck won’t include the king of one-night stands.
It’ll take more than flashy moves to win her over
Dean always gets what he wants. Girls, grades, girls, recognition, girls…he’s a ladies man, all right, and he’s yet to meet a woman who’s immune to his charms. Until Allie. For one night, the feisty blonde rocked his entire world—and now she wants to be friends? Nope. It’s not over until he says it’s over. Dean is in full-on pursuit, but when life-rocking changes strike, he starts to wonder if maybe it’s time to stop focusing on scoring…and shoot for love.
Allie Hayes is in crisis mode. With graduation looming, she still doesn’t have the first clue about what she's going to do after college. To make matters worse, she’s nursing a broken heart thanks to the end of her longtime relationship. Wild rebound sex is definitely not the solution to her problems, but gorgeous hockey star Dean Di-Laurentis is impossible to resist. Just once, though, because even if her future is uncertain, it sure as heck won’t include the king of one-night stands.
It’ll take more than flashy moves to win her over
Dean always gets what he wants. Girls, grades, girls, recognition, girls…he’s a ladies man, all right, and he’s yet to meet a woman who’s immune to his charms. Until Allie. For one night, the feisty blonde rocked his entire world—and now she wants to be friends? Nope. It’s not over until he says it’s over. Dean is in full-on pursuit, but when life-rocking changes strike, he starts to wonder if maybe it’s time to stop focusing on scoring…and shoot for love.
Mon avis
Elle Kennedy ne cessera jamais de me surprendre.
Comment vous dire à quel point j'avais hâté de connaître l'histoire de Dean. Étant le personnage le plus exhibitionniste des quatre, je savais déjà que j'aurais droit à un personnage hyper coloré et que plusieurs de ses répliques allaient me faire éclater de rire. Une chose est certaine, j'avais totalement sous-estimé Dean.
Comment vous dire à quel point j'ai adoré Dean? Il est tellement mieux que tout ce qu'on aurait pu imaginer à son sujet. Il est drôle, incroyablement arrogant, hyper sexy, mais aussi étonnamment vif d'esprit et brillant. C'est vrai, il aime les femmes et il ne se cache pas pour le dire (ou le montre). Mais il n'est pas que ça et j'aime quand on peut déceler une telle profondeur dans des personnages. Elle Kennedy a véritablement un don. Quant à Allie, je n'étais pas certaine de l'aimer au début. Elle était déjà présente dans la série depuis le premier tome, mais on ne la connaissait pas vraiment. Une chose est certaine maintenant, elle a du caractère. C'est, à mon avis, le couple le mieux assorti des trois jusqu'à présent.
Dans le résumé (donc je ne spoile rien), il y est dit que Dean et Allie vont coucher ensemble pratiquement dès le début du livre. Habituellement, je déteste ça parce qu'on n'a pas le temps de s'attacher aux personnages et de sentir la tension monter entre eux deux. Je dois toutefois m'incliner devant la sagesse dont à fait preuve Elle Kennedy pour avoir su garder mon intérêt malgré tout. Elle a trouvé une façon tout ce qu'il y a de plus simple pour nous mettre l'eau à la bouche, sans toutefois nous gâcher la surprise.
Il va sans dire que l'auteur connait très bien ses classiques: Twilight, Hunger Games, Divergent. Mais le plus drôle dans tout ça, c'est que c'est Dean qui y fait référence à tous les coups. Quand je l'ai vu comparer Allie à Bella, je n'ai pas pu m'empêcher de rire. Et ce n'est pas le seul passage qui ait réussi à me faire rire aux éclats. Il y a un passage en particulier qui m'a fait éclater de rire, mais VRAIMENT éclater de rire. Je ne l'avais tellement pas vu venir celle-là et la manière dont la scène est décrite… Je vous jure que juste pour ça, je relirais ce livre demain matin.
Et au moment où on s'y attend le moins. BOOM!! Elle Kennedy nous sort LA bombe de son roman. Alors que les deux premiers tomes de la série restaient dans un esprit assez léger sans trop de drame inutile, ce troisième tome m'a totalement surprise. L'auteur a décidé d'y inclure un élément dramatique pour le moins inattendu qui aura des répercussions sur la suite et fin de l'histoire. Je n'irai pas plus loin dans les détails, mais j'ai vraiment été choqué par ce revirement de situation.
Contrairement aux autres tomes, The Score nous laisse sur un cliffhanger pour le moins inattendu. Ce n'est pas commun lorsqu'il s'agit d'une série avec des tomes compagnons que d'avoir une aussi grosse révélation à la fin du livre. Et je ne parle même pas de cette coupure nette. Je m'attendais à tourner la page et à poursuivre ma lecture. Mais non! Pas de suite. Il faudra attendre des mois pour découvrir l'histoire de Tucker.
Décidément, Elle Kennedy est capable de nous faire vivre à la fois le meilleur et le pire. Autant certains passages sont hilarants, autant certains vous feront monter les larmes aux yeux. Et que dire la fin! Je veux l'histoire de Tucker maintenant. Je ne veux pas attendre jusqu'en septembre prochain. Mais je crois que je n'ai pas voix au chapitre. Malheureusement… *soupir* Enfin bref, Elle Kennedy est une reine et je suis maintenant un de ses fidèles sujets.
Comment vous dire à quel point j'avais hâté de connaître l'histoire de Dean. Étant le personnage le plus exhibitionniste des quatre, je savais déjà que j'aurais droit à un personnage hyper coloré et que plusieurs de ses répliques allaient me faire éclater de rire. Une chose est certaine, j'avais totalement sous-estimé Dean.
Comment vous dire à quel point j'ai adoré Dean? Il est tellement mieux que tout ce qu'on aurait pu imaginer à son sujet. Il est drôle, incroyablement arrogant, hyper sexy, mais aussi étonnamment vif d'esprit et brillant. C'est vrai, il aime les femmes et il ne se cache pas pour le dire (ou le montre). Mais il n'est pas que ça et j'aime quand on peut déceler une telle profondeur dans des personnages. Elle Kennedy a véritablement un don. Quant à Allie, je n'étais pas certaine de l'aimer au début. Elle était déjà présente dans la série depuis le premier tome, mais on ne la connaissait pas vraiment. Une chose est certaine maintenant, elle a du caractère. C'est, à mon avis, le couple le mieux assorti des trois jusqu'à présent.
Dans le résumé (donc je ne spoile rien), il y est dit que Dean et Allie vont coucher ensemble pratiquement dès le début du livre. Habituellement, je déteste ça parce qu'on n'a pas le temps de s'attacher aux personnages et de sentir la tension monter entre eux deux. Je dois toutefois m'incliner devant la sagesse dont à fait preuve Elle Kennedy pour avoir su garder mon intérêt malgré tout. Elle a trouvé une façon tout ce qu'il y a de plus simple pour nous mettre l'eau à la bouche, sans toutefois nous gâcher la surprise.
Il va sans dire que l'auteur connait très bien ses classiques: Twilight, Hunger Games, Divergent. Mais le plus drôle dans tout ça, c'est que c'est Dean qui y fait référence à tous les coups. Quand je l'ai vu comparer Allie à Bella, je n'ai pas pu m'empêcher de rire. Et ce n'est pas le seul passage qui ait réussi à me faire rire aux éclats. Il y a un passage en particulier qui m'a fait éclater de rire, mais VRAIMENT éclater de rire. Je ne l'avais tellement pas vu venir celle-là et la manière dont la scène est décrite… Je vous jure que juste pour ça, je relirais ce livre demain matin.
Et au moment où on s'y attend le moins. BOOM!! Elle Kennedy nous sort LA bombe de son roman. Alors que les deux premiers tomes de la série restaient dans un esprit assez léger sans trop de drame inutile, ce troisième tome m'a totalement surprise. L'auteur a décidé d'y inclure un élément dramatique pour le moins inattendu qui aura des répercussions sur la suite et fin de l'histoire. Je n'irai pas plus loin dans les détails, mais j'ai vraiment été choqué par ce revirement de situation.
Contrairement aux autres tomes, The Score nous laisse sur un cliffhanger pour le moins inattendu. Ce n'est pas commun lorsqu'il s'agit d'une série avec des tomes compagnons que d'avoir une aussi grosse révélation à la fin du livre. Et je ne parle même pas de cette coupure nette. Je m'attendais à tourner la page et à poursuivre ma lecture. Mais non! Pas de suite. Il faudra attendre des mois pour découvrir l'histoire de Tucker.
Décidément, Elle Kennedy est capable de nous faire vivre à la fois le meilleur et le pire. Autant certains passages sont hilarants, autant certains vous feront monter les larmes aux yeux. Et que dire la fin! Je veux l'histoire de Tucker maintenant. Je ne veux pas attendre jusqu'en septembre prochain. Mais je crois que je n'ai pas voix au chapitre. Malheureusement… *soupir* Enfin bref, Elle Kennedy est une reine et je suis maintenant un de ses fidèles sujets.
Ma note
5/5
mardi 19 janvier 2016
samedi 16 janvier 2016
Garde du corps et Quiproquos
Description
Titre anglais: Tempting the Bodygard
Titre français: Garde du corps et Quiproquos
Série: Les frères Gamble
Tome: 3
Auteur: J. Lynn
Édition: Milady Romance; Sensations
Nombre de pages: 336
Niveau d'anglais: -
Synopsis
Qui l’emportera au jeu du chat et de la souris ?
Chandler Gamble, garde du corps, a une règle, une seule : ne jamais
protéger une femme qui l’attire. Or Alana, la publicitaire impitoyable
qui vient de l’engager, est diablement envoûtante, et il se sent pris au
piège entre son travail et un désir de plus en plus dévastateur. D’un
côté, Alana a besoin de ses services. De l’autre, cette femme torride
réveille tous ses désirs, lui donne envie de lui faire connaître une
extase enivrante, jusqu’à ce qu’elle soit totalement à sa merci… Elle a
besoin d’être protégée. Il a besoin d’être satisfait. Et dès qu’ils
cèderont à leurs pulsions, ce sera le chaos.
Mon avis
JLA peut fait beaucoup mieux!
Vous l'aurez compris, cette lecture était loin d'être ma préférée de Jennifer L. Armentrout. Je ne reconnaissais même pas son style. Il est vrai que j'ai lu tous ses autres livres en anglais, mais tout de même. La romance contemporaine pour adulte n'est pas son style de prédilection et ça se sent.
Ce troisième et dernier tome de la trilogie porte sur le dernier frère Gamble, Chandler. C'est l'aîné des trois et ça se sent dans sa manière d'agir. Il est très autoritaire et ça se ressent à la fois dans la vie professionnelle et personnelle. Quant à Alana, elle a l'habitude de toujours tenir les rênes. Ensemble, ils vont former un duo bien particulier.
Je ne peux pas dire que j'aie détesté les personnages, mais je ne peux pas dire que je les aie vraiment aimé non plus. En fait, j'ai préféré Chandler à Alana puisque lui au moins, ce n'est pas une tête de mule. Il a ses principes et il s'y tient, mais il n'est pas borné pour autant. Alana, c'est une autre histoire. Je n'ai pas aimé cette manie qu'elle avait de sans cesse repousser les autres. Elle a fait à sa tête tout au long du roman et POUFF! Elle a une illumination à la fin du roman. C'est assez comique…
Le début de l'histoire me semblait prometteur lorsqu'Alana doit faire appel aux services de Chandler pour la protéger de cette mystérieuse personne qui lui veut du mal. Mais par la suite, l'histoire d'amour prend totalement le dessus et on n'entend à nouveau parler de l'agresseur qu'au dernier chapitre. L'auteure a zappé cette partie de son histoire puisque ça l'arrangerait bien. Une autre chose qu'elle a oublié. Dès la première scène de Chandler, on apprend qu'il a des goût assez particuliers en matière de sexe. Je me suis dit: «D'accord, on va avoir droit à une histoire à la fifty shades, mais en plus soft.» Et bah non! Cet élément a carrément disparu en cours de route. Dans un sens, c'est tant mieux parce que je savais que ce n'est pas le genre de l'auteure et je suis contente qu'elle ne se soit pas embarquée là-dedans.
En bref, ce dernier tome (comme toute la série d'ailleurs) est divertissant, mais ne vous attendez pas à une merveille. L'histoire n'est pas très bien ficelée et l'auteure a pris un peu trop de libertés avec son histoire de base et ses personnages. Mais bon… J'ai passé une bon moment, et c'est tout ce qui compte.
Vous l'aurez compris, cette lecture était loin d'être ma préférée de Jennifer L. Armentrout. Je ne reconnaissais même pas son style. Il est vrai que j'ai lu tous ses autres livres en anglais, mais tout de même. La romance contemporaine pour adulte n'est pas son style de prédilection et ça se sent.
Ce troisième et dernier tome de la trilogie porte sur le dernier frère Gamble, Chandler. C'est l'aîné des trois et ça se sent dans sa manière d'agir. Il est très autoritaire et ça se ressent à la fois dans la vie professionnelle et personnelle. Quant à Alana, elle a l'habitude de toujours tenir les rênes. Ensemble, ils vont former un duo bien particulier.
Je ne peux pas dire que j'aie détesté les personnages, mais je ne peux pas dire que je les aie vraiment aimé non plus. En fait, j'ai préféré Chandler à Alana puisque lui au moins, ce n'est pas une tête de mule. Il a ses principes et il s'y tient, mais il n'est pas borné pour autant. Alana, c'est une autre histoire. Je n'ai pas aimé cette manie qu'elle avait de sans cesse repousser les autres. Elle a fait à sa tête tout au long du roman et POUFF! Elle a une illumination à la fin du roman. C'est assez comique…
Le début de l'histoire me semblait prometteur lorsqu'Alana doit faire appel aux services de Chandler pour la protéger de cette mystérieuse personne qui lui veut du mal. Mais par la suite, l'histoire d'amour prend totalement le dessus et on n'entend à nouveau parler de l'agresseur qu'au dernier chapitre. L'auteure a zappé cette partie de son histoire puisque ça l'arrangerait bien. Une autre chose qu'elle a oublié. Dès la première scène de Chandler, on apprend qu'il a des goût assez particuliers en matière de sexe. Je me suis dit: «D'accord, on va avoir droit à une histoire à la fifty shades, mais en plus soft.» Et bah non! Cet élément a carrément disparu en cours de route. Dans un sens, c'est tant mieux parce que je savais que ce n'est pas le genre de l'auteure et je suis contente qu'elle ne se soit pas embarquée là-dedans.
En bref, ce dernier tome (comme toute la série d'ailleurs) est divertissant, mais ne vous attendez pas à une merveille. L'histoire n'est pas très bien ficelée et l'auteure a pris un peu trop de libertés avec son histoire de base et ses personnages. Mais bon… J'ai passé une bon moment, et c'est tout ce qui compte.
Ma note
2.75/5
vendredi 15 janvier 2016
dimanche 10 janvier 2016
mardi 5 janvier 2016
Wrap Up #22 - Décembre 2015
Mes lectures du mois:
- The Best Goodbye by Abbi
Glines
- The Hook Up by Kristen
Callihan
- Je t'ai rêvé de Francesca
Zappia
- The Friend Zone by Kristen
Callihan
- The Game Plan by Kristen
Callihan
samedi 2 janvier 2016
Je t'ai rêvé
Description
Titre anglais: Made You Up
Titre français: Je t'ai rêvé
Série: -
Tome: -
Auteur: Francesca Zappia
Édition: Robert Laffont; Collection R
Nombre de pages: 442
Niveau d'anglais: -
Synopsis
La folie est son quotidien, rien ne la préparait à être «normale».
- On joue au jeu des vingt questions ?
- OK , mais c'est moi qui les pose cette fois.
- Ça marche.
- Si je devine en moins de cinq questions, je serai vraiment déçue.
Il esquisse un sourire et répond :
- Ne m'insulte pas.
- Est-ce que tu es vivant ?
- Oui.
- Tu habites ici ?
- Oui.
- Je te connais ?
- Oui.
- Est-ce que je t'ai rêvé ?
- On joue au jeu des vingt questions ?
- OK , mais c'est moi qui les pose cette fois.
- Ça marche.
- Si je devine en moins de cinq questions, je serai vraiment déçue.
Il esquisse un sourire et répond :
- Ne m'insulte pas.
- Est-ce que tu es vivant ?
- Oui.
- Tu habites ici ?
- Oui.
- Je te connais ?
- Oui.
- Est-ce que je t'ai rêvé ?
Mon avis
Habituellement,
lorsque je termine un livre, je peux facilement écrire mon avis
rapidement et parler de mon ressenti général sans aucun problème.
Seulement, ce n'est pas le cas ici. J'ai terminé ce roman il y a près de
2 semaines maintenant et je ne sais toujours pas comment le décrire.
C'est une histoire qui me semble si abstraite et je me demande encore si
j'en ai réellement bien saisi toutes les subtilités. C'est un fait, Je
t'ai rêvé de Francesca Zappia ne m'a pas laissée indifférente.
Nous avons tous déjà rêvé de nous retrouver dans une nouvelle école juste pour avoir la chance de laisser notre passé derrière nous et recommencer à neuf en étant une toute nouvelle personne. C'est aussi le cas d'Alex (ou Alexandra). Mais contrairement aux autres, Alex ne le peut pas et ne le pourra jamais puisqu'elle est schizophrène. Elle doit vivre tous les jours en de demandant si ce qu'elle a voit et entend est réel ou tout simplement le fruit de son imagination débordante, mais incontrôlable.
Décidément, cette lecture était tout sauf inintéressante. Il y avait tellement de beaux et bons éléments dans ce premier roman de l'auteure. Alex est une jeune fille très attachante, intelligente et aussi étrange. Mais dans le bon sens. Elle est unique et c 'est pour cette raison que je me suis immédiatement prise d'affection pour elle. Au fil des ans, elle a développé certaines méthodes pour distinguer le vrai du faux dans sa vie. Je pense à son appareil photo qui ne la quitte jamais ou cette manie qu'elle a de demander conseil à une boule magique.
Le thème de la maladie mentale est très bien abordé et de façon tout a fait originale. J'avais déjà lu certains romans où il en était question, mais je ne m'étais jamais retrouvé dans la tête d'un personnage souffrant de schizophrénie. C'était assez déroutant, mais très instructif. Plus j'avançais dans l'histoire, plus je me demandais si tout ça n'était pas tout simplement le fruit de mon imagination (ou de l'imagination d'Alex pour être exacte). Les 100 dernières pages sont plus que déroutantes. Lorsque la machine est en marche, il n'y a plus rien pour l'arrêter. Et lorsqu'on connait enfin le dénouement, on se demande: "Comment est-ce possible?"
En plus d'Alex, l'auteure nous offre une magnifique brochette personnages secondaires très colorés. Et surtout, il y a Miles. Celui-là, il m'en a vraiment fait voir de toutes les couleurs. Je l'ai détesté au début. Comment faire autrement? Il est snob, impoli et il ne manque surtout pas une occasion pour pourrir la vie d'Alex. Non, je l'avoue, je ne le portais pas dans mon cœur. Mais je savais aussi qu'il y avait plus sous sa carapace. C'est un jeune homme brillant et très charismatique. Et surtout, ses grands yeux bleus semblent très familiers à Alex.
Je t'ai rêvé est un magnifique premier roman. Même s'il comporte son lot de défauts et d'imperfections, il n'en demeure pas moins que Francesca Zappia réussi très bien faire passer son message et à captiver ses lecteurs. On y comprend qu'il ne faut jamais juger sans savoir, surtout lorsqu'une personne est atteinte de maladie mentale. Et le chemin que fait Alex tout au long de l'histoire est très inspirant. C'est une lecture qui procure à la fois divertissement et réflexion.
Merci à la Collection R Canada pour belle surprise!
Nous avons tous déjà rêvé de nous retrouver dans une nouvelle école juste pour avoir la chance de laisser notre passé derrière nous et recommencer à neuf en étant une toute nouvelle personne. C'est aussi le cas d'Alex (ou Alexandra). Mais contrairement aux autres, Alex ne le peut pas et ne le pourra jamais puisqu'elle est schizophrène. Elle doit vivre tous les jours en de demandant si ce qu'elle a voit et entend est réel ou tout simplement le fruit de son imagination débordante, mais incontrôlable.
Décidément, cette lecture était tout sauf inintéressante. Il y avait tellement de beaux et bons éléments dans ce premier roman de l'auteure. Alex est une jeune fille très attachante, intelligente et aussi étrange. Mais dans le bon sens. Elle est unique et c 'est pour cette raison que je me suis immédiatement prise d'affection pour elle. Au fil des ans, elle a développé certaines méthodes pour distinguer le vrai du faux dans sa vie. Je pense à son appareil photo qui ne la quitte jamais ou cette manie qu'elle a de demander conseil à une boule magique.
Le thème de la maladie mentale est très bien abordé et de façon tout a fait originale. J'avais déjà lu certains romans où il en était question, mais je ne m'étais jamais retrouvé dans la tête d'un personnage souffrant de schizophrénie. C'était assez déroutant, mais très instructif. Plus j'avançais dans l'histoire, plus je me demandais si tout ça n'était pas tout simplement le fruit de mon imagination (ou de l'imagination d'Alex pour être exacte). Les 100 dernières pages sont plus que déroutantes. Lorsque la machine est en marche, il n'y a plus rien pour l'arrêter. Et lorsqu'on connait enfin le dénouement, on se demande: "Comment est-ce possible?"
En plus d'Alex, l'auteure nous offre une magnifique brochette personnages secondaires très colorés. Et surtout, il y a Miles. Celui-là, il m'en a vraiment fait voir de toutes les couleurs. Je l'ai détesté au début. Comment faire autrement? Il est snob, impoli et il ne manque surtout pas une occasion pour pourrir la vie d'Alex. Non, je l'avoue, je ne le portais pas dans mon cœur. Mais je savais aussi qu'il y avait plus sous sa carapace. C'est un jeune homme brillant et très charismatique. Et surtout, ses grands yeux bleus semblent très familiers à Alex.
Je t'ai rêvé est un magnifique premier roman. Même s'il comporte son lot de défauts et d'imperfections, il n'en demeure pas moins que Francesca Zappia réussi très bien faire passer son message et à captiver ses lecteurs. On y comprend qu'il ne faut jamais juger sans savoir, surtout lorsqu'une personne est atteinte de maladie mentale. Et le chemin que fait Alex tout au long de l'histoire est très inspirant. C'est une lecture qui procure à la fois divertissement et réflexion.
Merci à la Collection R Canada pour belle surprise!
Ma note
4.25/5
Inscription à :
Articles (Atom)