Description
Titre anglais: The Crown
Titre français: La Couronne
Série: The Selection
Tome: 5
Auteur: Kiera Cass
Édition: HarperTeen
Nombre de pages: 279
Niveau d'anglais: Débutant
Synopsis
When Eadlyn became the
first princess of Illéa to hold her own Selection, she didn’t think she
would fall in love with any of her thirty-five suitors. She spent the
first few weeks of the competition counting down the days until she
could send them all home. But as events at the palace force Eadlyn even
further into the spotlight, she realizes that she might not be content
remaining alone.
Eadlyn still isn’t sure she’ll find the fairytale ending her parents did twenty years ago. But sometimes the heart has a way of surprising you…and soon Eadlyn must make a choice that feels more impossible—and more important—than she ever imagined.
Eadlyn still isn’t sure she’ll find the fairytale ending her parents did twenty years ago. But sometimes the heart has a way of surprising you…and soon Eadlyn must make a choice that feels more impossible—and more important—than she ever imagined.
Mon avis
La digne conclusion d'une série envoutante.
C'est refermant mon roman après avoir lu la toute dernière ligne que j'ai réellement pris conscience que je ne reverrais plus jamais America, Maxon et Eadlyn. Même si je n'en ai pas envie, je dois leur dire aurevoir. Je suis partagée présentement entre la joie et la tristesse. The Crown est la digne fin d'une série qui m'aura fait rêvé pendant 4 années merveilleuses.
Dans ce dernier tome, Eadlyn doit faire un choix. Mais après la fin inattendue du tome précédent, elle n'a malheureusement pas le cœur à enchainer les rendez-vous avec ses divers prétendants. Le peuple d'Illéa est mécontent et Eadlyn aura besoin de tous les alliés possibles, même de ceux dont elle doute.
Lorsque j'ai débuté ma lecture, j'étais angoissée de savoir ce qui allait advenir à l'un de mes personnages favoris de la série. J'avais envie de voir Eadlyn évoluer bien sûr, mais je n'avais pas le cœur léger. Ce n'est que vers la moitié du roman, lorsque j'ai enfin eu l'esprit en paix, que j'ai à nouveau pris goût au flirt et aux rendez-vous. Et pour en avoir, il y en a! Ce n'est peut-être pas ce à quoi plusieurs s'attendaient, mais personnellement, je ne pourrais être plus ravie du choix final d'Eadlyn. En terminant ma lecture, j'avais le cœur tellement gros que j'ai bien cru que j'allais pleurer de joie. Et juste à y repenser, j'ai le sourire aux lèvres.
En seulement deux tomes, Eadlyn a énormément évolué, devenant ainsi une femme à la fois forte et sensible. Je n'aurais jamais cru que c'était possible étant donné le mépris que j'avais pour elle au tout début du 4e tome. Mais sa force de caractère m'a totalement conquise, et j'avouerais même que je la préfère peut-être à America. Elle a ce petit je ne sais quoi de plus.
Quant à l'aspect dystopie, il est légèrement plus développé dans ce dernier tome. Kiera Cass ne peut faire autrement que de boucler la bloucle, et elle le fait vraiment de manière admirable. Eadlyn n'a jamais été la préférée du public, mais on peut voir qu'elle a à cœur le bonheur de chacun des habitants d'Illéa.
Et bien voilà. C'est la fin. Après 4 années à attendre impatiemment le prochain tome de La Sélection, il n'y en aura plus. Kiera Cass a fait un travail admirable. Elle m'a conquise dès la première page du premier tome, à un tel point que ça me fait mal de me dire que je viens de lire la dernière page du tout dernier tome de la série. Mais je me réjouis en me disant que ses personnages vivront à jamais dans mon imagination. Et que si l'envie m'en prend, je pourrai toujours ouvrir à nouveau mon livre et me replonger dans leur histoire.
C'est refermant mon roman après avoir lu la toute dernière ligne que j'ai réellement pris conscience que je ne reverrais plus jamais America, Maxon et Eadlyn. Même si je n'en ai pas envie, je dois leur dire aurevoir. Je suis partagée présentement entre la joie et la tristesse. The Crown est la digne fin d'une série qui m'aura fait rêvé pendant 4 années merveilleuses.
Dans ce dernier tome, Eadlyn doit faire un choix. Mais après la fin inattendue du tome précédent, elle n'a malheureusement pas le cœur à enchainer les rendez-vous avec ses divers prétendants. Le peuple d'Illéa est mécontent et Eadlyn aura besoin de tous les alliés possibles, même de ceux dont elle doute.
Lorsque j'ai débuté ma lecture, j'étais angoissée de savoir ce qui allait advenir à l'un de mes personnages favoris de la série. J'avais envie de voir Eadlyn évoluer bien sûr, mais je n'avais pas le cœur léger. Ce n'est que vers la moitié du roman, lorsque j'ai enfin eu l'esprit en paix, que j'ai à nouveau pris goût au flirt et aux rendez-vous. Et pour en avoir, il y en a! Ce n'est peut-être pas ce à quoi plusieurs s'attendaient, mais personnellement, je ne pourrais être plus ravie du choix final d'Eadlyn. En terminant ma lecture, j'avais le cœur tellement gros que j'ai bien cru que j'allais pleurer de joie. Et juste à y repenser, j'ai le sourire aux lèvres.
En seulement deux tomes, Eadlyn a énormément évolué, devenant ainsi une femme à la fois forte et sensible. Je n'aurais jamais cru que c'était possible étant donné le mépris que j'avais pour elle au tout début du 4e tome. Mais sa force de caractère m'a totalement conquise, et j'avouerais même que je la préfère peut-être à America. Elle a ce petit je ne sais quoi de plus.
Quant à l'aspect dystopie, il est légèrement plus développé dans ce dernier tome. Kiera Cass ne peut faire autrement que de boucler la bloucle, et elle le fait vraiment de manière admirable. Eadlyn n'a jamais été la préférée du public, mais on peut voir qu'elle a à cœur le bonheur de chacun des habitants d'Illéa.
Et bien voilà. C'est la fin. Après 4 années à attendre impatiemment le prochain tome de La Sélection, il n'y en aura plus. Kiera Cass a fait un travail admirable. Elle m'a conquise dès la première page du premier tome, à un tel point que ça me fait mal de me dire que je viens de lire la dernière page du tout dernier tome de la série. Mais je me réjouis en me disant que ses personnages vivront à jamais dans mon imagination. Et que si l'envie m'en prend, je pourrai toujours ouvrir à nouveau mon livre et me replonger dans leur histoire.